« Il posa le santouri sur ses genoux, se pencha sur lui, caressa légèrement les cordes - on aurait dit qu'il le consultait sur l'air qu'ils allaient chanter, qu'il le priait de se réveiller, qu'il le prenait par la douceur pour qu'il vienne tenir compagnie à son âme en peine, fatiguée de la solitude. »[ "Alexis Zorba" de Nikos Kazantzaki ]