« On a coutume de dire : les riches açoréens continuent à voyager autour du monde, les pauvres se contentent de faire le tour de leur île. Mais ce ressenti du Sublime, cet accès privilégié à une forme d’extase, constitue une richesse spirituelle à côté de laquelle la possession matérielle n’est pas grand-chose. »
[ Un cargo pour les Açores de Jean-Yves Loude, Actes Sud, 2018 ]