« Des cohortes d'aras azurés et flamboyants traversaient le ciel d'heure en heure, à mesure que nous passions chacun des coudes de la rivière ; d'énormes poissons blancs et jaunes surgissaient comme des météores au-dessus de la surface des eaux où ils s'immobilisaient, une fraction de seconde, dressés miraculeusement sur leur queue, avant de retomber au fond de leur demeure, sous un panache d'écume. »[ "Orénoque-Amazone" d'Alain Gherbrant ]