« Autour de nous, et à perte de vue, rien que de puissantes ondulations ; on aurait dit des sillons immenses semblables à ceux que la tempête creuse au sein des mers. Les jeux de lumière avec leurs effets changeants, suivant les nuages qui passaient sous le soleil, ajoutaient à l'illusion en donnant à la crête de ces houles figées une mobilité apparente. »[ "Le Mékong" de Louis de Carné ]